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Note de synthèse |
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Dossier thématique : Agenda Post-Cancún |
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1. Cette note de synthèse vise à retracer les éléments et événements qui ont conduit à la débâcle de Cancún. Certains affirment que cet échec était prévisible. Non seulement la plupart des échéances fixées à Doha avaient été ratées, mais encore le projet de texte ministériel (PTM), présenté aux membres avant Cancún sous la responsabilité du Président du Conseil général [Note 1], ne faisait pas lobjet dun accord et avait été vivement critiqué de toutes parts pour son « déséquilibre ». Tout en reconnaissant la difficulté de la tâche du Président du Conseil général, les membres avaient directement attaqué ce texte sur plusieurs fronts. Selon certains, le projet de texte ministériel manquait dambition sur des questions fondamentales comme lagriculture, reflétant trop la position du document conjoint des Communautés européennes (CE) et des Etats-Unis [Note 2]. Dautres, en particulier ceux qui espéraient une amélioration substantielle et générale de laccès aux marchés des produits industriels, ont trouvé que la section portant sur les négociations relatives à laccès aux marchés pour les produits non agricoles (NAMA) nétait pas assez ambitieuse. Pour la plupart des pays en développement, lannexe sur laccès aux marchés des produits non agricoles était inacceptable dans la mesure où elle ne tenait compte ni du traitement spécial et différencié en faveur des pays en développement, ni du principe de la réciprocité non totale que les modalités auraient dû inclure. Ces pays ont en outre affirmé que la poursuite de la libéralisation et des réductions tarifaires dans le domaine de lagriculture et du NAMA éroderaient les préférences accordées aux pays en développement. Sagissant des Questions de Singapour, la « solution » proposée par le Président dans le projet de texte ministériel consistait à combiner les deux positions extrêmes : dune part, de commencer les négociations sur la base de modalités convenues dans des annexes distinctes du PTM et, dautre part, de reconnaître quil navait pas été possible de dégager une base de négociations et de reprendre le travail de clarification sur ces questions. Mais en raison du contraste profond entre la deuxième solution et la première, qui prévoyait des annexes sur les modalités qui soit avaient été largement rejetées, soit navaient pas fait lobjet de discussions approfondies, tous les pays en développement avaient jugé cette solution déséquilibrée et inacceptable. 2. De plus, de manière générale, le PTM ne prévoyait pas suffisamment de dates limites, comportait des crochets sur des questions fondamentales et ne considérait pas à leur juste valeur des éléments que les membres regardaient comme essentiels pour faire progresser les négociations. En bref, le texte reflétait le manque de progrès accomplis depuis la Conférence de Doha en novembre 2001. Cependant, tous ont convenu quil était préférable de disposer de ce projet de texte ministériel, plutôt que darriver les mains vides à Cancún. Cela constituait au moins un point de départ à partir duquel les ministres pourraient décider de ce qui devait être pris en considération. Pourtant, même si ce texte était mieux que rien, il na pas répondu à ces attentes : il na pas constitué un bon point de départ. Les positions sur la plupart des questions étaient tellement polarisées quil était extrêmement difficile de trouver un terrain dentente, que ce soit entre négociateurs ou entre ministres. Cancún était la suite et le point culminant dune situation déjà bloquée à Genève. 3. Aucune catastrophe na de cause unique. A Cancún, plusieurs éléments se sont associés pour provoquer cette débâcle : des problèmes institutionnels, des problèmes de procédure et des problèmes de fond (ou dautres questions sy rapportant). La cause institutionnelle peut être attribuée à la nature, à la structure et à lévolution étranges de lOMC. En effet, lOMC, issue du GATT, est officiellement une institution, mais conserve la nature « contractuelle » du GATT et donc, en toute logique, ses rites et conventions tacites. Le GATT et les cycles de négociations commerciales multilatérales menés sous ses auspices avaient été possibles grâce à une « culture » commune. Si le GATT est communément décrit comme un « club de pays riches », il faut souligner que cet aspect est plutôt un mythe [Note 3]; en effet, un peu moins de la moitié des membres initiaux étaient des pays que lon considérerait aujourdhui comme « développés ». Par contre, limage du « club » est sans doute plus proche de la réalité. Seuls quelques membres étaient actifs et prenaient les décisions fondamentales. Même durant le dernier cycle de négociations du GATT, le Cycle dUruguay, peu de pays en développement avaient participé. Aujourdhui, pour diverses raisons, les pays en développement ne sont plus passifs. Ils restent néanmoins nouveaux dans le système et ne sont pas imprégnés de la culture du GATT. Par conséquent, latmosphère de « club » caractérisant le GATT, qui permettait de prendre des décisions par consensus, a disparu. Beaucoup pensent donc quune réforme de lOMC et de sa Conférence ministérielle est indispensable non seulement pour pouvoir continuer les négociations, mais aussi pour que lOMC survive et reste une organisation viable. 4. Il semble généralement convenu que les problèmes de procédure ayant contribué à léchec de Cancún sont liés à la confusion qui caractérise la dernière phase des négociations. En effet, une fois publié le nouveau projet de texte ministériel révisé (PTM Rev.2, également nommé Texte de Derbez) [Note 4], soit un jour avant la fin de la Conférence, les négociations auraient dû réellement commencer. Cest pourtant à ce moment là que les choses ont commencé à se gâter : le Président de la Conférence a décidé de traiter directement les Questions de Singapour, en laissant de côté les autres sujets de négociation. Certains affirment quil aurait été préférable de se concentrer dabord sur lagriculture avant de passer à dautres sujets plus épineux, comme les Questions de Singapour. Puis, face au durcissement des positions en la matière, le Président a décidé de clore la réunion. Là encore, beaucoup de membres et de non-membres ont estimé que cette décision était inattendue et prématurée. 5. Bien que le PTM et le PTM Rev.2 couvrent une grande partie des sujets de négociation prévus dans la Déclaration ministérielle de Doha, quatre thèmes ont monopolisé lattention des ministres et des négociateurs à Cancún. Limpossibilité de surmonter les énormes divergences de points de vue et lintransigeance de toutes les parties concernées ont contribué à cet échec. Lagriculture, les Questions de Singapour, les négociations sur laccès aux marchés pour les produits non agricoles et le coton sont les quatre thèmes sur lesquels le Président du Conseil général, avec la participation active du Directeur général de lOMC, a essentiellement porté ses efforts à Genève et dans les consultations avec les représentants officiels des capitales afin de remettre les négociations sur les rails. Voici un bref aperçu des principaux points dachoppement et de la façon dont ces questions ont été traitées à Cancún. A. Agriculture 6. En matière dagriculture, les négociations menées sous la houlette du facilitateur [Note 5] ont abouti à la deuxième mouture du projet de texte ministériel (Annexe A), publiée le 13 septembre, qui apporte dimportantes modifications au texte du Président du Conseil général [Note 6]. Concernant le soutien interne, les conditions de réduction par les pays développés ont été précisées pour inclure une disposition permettant de plafonner la mesure globale de soutien (MGS) par produits. Les conditions relatives aux versements relevant de la catégorie bleue nont pas été modifiées par rapport au PTM, qui reprenait la formulation du document conjoint des CE et des Etats-Unis. Les réductions basées sur la somme de la MGS, de la catégorie bleue et des versements de minimis devaient aussi faire lobjet dune réduction minimale initiale, durant la première année de mise en uvre. Les critères relatifs à la catégorie verte devaient être réexaminés afin que les mesures correspondantes aient des effets de distorsion des échanges ou de la production « nuls, ou au plus, minimes ». Sagissant des engagements en matière de soutien interne, lAnnexe A du PTM Rev.2 restait assez proche du document conjoint des CE et des Etats-Unis : pas de réductions « par produits », comme lavait proposé le G-20, et rejet de la proposition du G-20 consistant à plafonner ou à réduire les versements directs relevant de la catégorie verte. Les pays en développement nétaient pas tenus dabaisser leurs niveaux de minimis et un traitement spécial et différencié leur était accordé sous la forme de réductions moins importantes du soutien faussant les échanges. 7. Dans le domaine de laccès aux marchés, le PTM Rev.2 conservait lapproche mixte des CE et des Etats-Unis pour les réductions tarifaires opérées par les pays développés. Ce texte indiquait quil fallait traiter la progressivité des droits, mais ne proposait aucune modalité à ce titre. Lutilisation et la durée de la sauvegarde spéciale pour lagriculture feraient lobjet de négociations ultérieures, puisque cela touchait les pays membres développés. 8. Les pays en développement bénéficieraient dun traitement spécial et différencié en matière daccès aux marchés, notamment par le biais de réductions tarifaires moins importantes et de périodes de mise en uvre plus longues. Deux méthodes possibles avaient été présentées. La première consistait à appliquer uniquement des réductions tarifaires moyennes (et des réductions minimales) à trois groupes différents de lignes tarifaires. Le premier groupe serait composé de produits dits « sensibles aux importations » et pourrait inclure la désignation de produits spéciaux (PS), qui feraient lobjet de réductions minimales, sans nouvel engagement en matière de contingents tarifaires. 9. Dans le domaine de la concurrence à lexportation, le PTM Rev.2 conservait les deux catégories utilisées à la fois dans le document conjoint des CE et des Etats-Unis et dans celui du G-20. Les subventions à lexportation sur les « produits présentant un intérêt particulier » pour les pays en développement seraient donc éliminées dans un délai convenu. Concernant les autres produits, le document du président reprenait le libellé de la Déclaration de Doha : envisager de réduire les montants et les quantités prévues pour les subventions à l'exportation « en vue de leur retrait progressif ». La date limite concernant lélimination de toutes les formes de subventions à lexportation continuait à faire lobjet de négociations. Dans le cadre des nouvelles disciplines relatives aux crédits à lexportation, des dispositions appropriées de traitement spécial et différencié devaient être prévues pour les pays les moins avancés (PMA) et les pays en développement importateurs nets de produits alimentaires. 10. Enfin, au sujet des questions qui avaient été escamotées depuis le document conjoint des CE et des Etats-Unis, le PTM Rev.2 réaffirmait que lextension de la clause de paix ainsi que les autres travaux sur les modalités, notamment « les questions présentant un intérêt mais non réglées» (cest-à-dire les considérations autres que dordre commercial, les initiatives sectorielles et les indications géographiques) seraient discutées ultérieurement. B. Questions de Singapour11. Sagissant des Questions de Singapour, plusieurs possibilités avaient été évoquées dans les consultations avec le facilitateur [Note 7]. Il a notamment été proposé de ne pas faire figurer le règlement des différends dans les modalités, ou de permettre aux membres de choisir de participer ou non si les négociations débouchaient sur des accords plurilatéraux. Le facilitateur avait aussi indiqué que des négociations pourraient commencer sur certaines de ces questions, et être repoussées pour les autres. Cependant, lorsque le PTM Rev.2 a été distribué, à la grande surprise des négociateurs, louverture de négociations était déjà prévue pour la facilitation des échanges et la transparence des marchés publics. En ce qui concerne linvestissement, le texte disposait que des négociations sur un cadre multilatéral de linvestissement commenceraient sur la base de modalités à convenir à une date indéterminée. Le PTM Rev.2 comportait donc de facto des mandats de négociation pour trois des quatre Questions de Singapour, et notamment celle, particulièrement polémique, du cadre du commerce et de linvestissement. C. Initiative sur le coton 12. En outre, ce qui ne fit quaccroître linquiétude des pays membres en développement, le paragraphe portant sur le coton dans le PTM Rev.2 disposait que le cas du coton devait être examiné en prenant en considération lensemble de la chaîne de valeur, notamment les textiles, les vêtements et les fibres synthétiques. Ce paragraphe indiquait par ailleurs que la solution au grave problème des quatre pays africains producteurs de coton serait liée à des programmes de diversification pour les pays fortement tributaires du coton, élaborés en consultation avec les institutions de Bretton Woods, lOrganisation des Nations Unies pour lalimentation et lagriculture (FAO) et le Centre du commerce international (CCI). D. Négociations sur laccès aux marchés pour les produits non agricoles 13. Dans le domaine des négociations sur laccès aux marchés pour les produits non agricoles, les pays en développement avaient insisté, depuis Genève, sur lérosion de leurs préférences, conséquence inévitable des réductions tarifaires. Etant donné que certains pays dépendaient fortement des recettes que constituent les droits de douane, ils étaient réticents à accepter une formule de réduction tarifaire et/ou une harmonisation ou une élimination sectorielle des droits de douane. Le PTM Rev.2 (Annexe B) reconnaissait les difficultés découlant de lérosion des préférences et les problèmes des pays tributaires des recettes tarifaires, mais aucune solution, ni même aucune amorce de solution ny était proposée. Le Groupe de négociation avait seulement pour instruction de tenir compte de ces besoins particuliers. Quant aux PMA, bien quils soient exemptés de participer à linitiative sectorielle et quils ne soient pas tenus dappliquer la formule, ils devaient augmenter le niveau de leurs consolidations tarifaires. 14. Comme nous lavons expliqué auparavant, la fin abrupte de la Conférence ministérielle de Cancún était un peu inattendue. La Déclaration ministérielle de clôture fut brève et sans détours. Le seul élément positif était laccession, pour la première fois, de deux PMA à lOMC. En ce qui concerne lavenir, les ministres ont donné pour instruction au Président du Conseil général de travailler en étroite collaboration avec le Directeur général afin de coordonner les travaux futurs et de « convoquer une réunion du Conseil général au niveau des hauts fonctionnaires au plus tard le 15 décembre 2003 afin de prendre les mesures nécessaires à ce stade pour [ ] permettre d'avancer vers une conclusion des négociations positive et dans les délais ». [Note 8] 15. Cet échec et la frustration qui en a découlé ont aussi rappelé quil ne serait certainement pas possible de conclure les négociations avant le 1er janvier 2005, date butoir fixée à Doha. Le résultat de Cancún a provoqué de nombreuses réactions. Les Etats-Unis et lUnion européenne (UE) ont déclaré que, tout en restant engagés en faveur du système commercial multilatéral, ils pourraient privilégier la « voie bilatérale » suite à léchec des négociations à Cancún. Cependant, à mesure que la situation se décantait, les premières réactions impulsives ont fait place à une attitude plus posée, mais pas nécessairement plus souple, à légard des négociations. Tous les membres ont proclamé leur attachement théorique au système commercial multilatéral et les consultations ont véritablement repris, sans pour autant que se manifeste la souplesse nécessaire ou la volonté politique de faire des concessions. 16. La dissociation des Questions de Singapour avait été proposée avant Doha, devant la forte opposition de nombreux pays en développement à lidée que celles-ci fassent partie du programme des négociations. Il avait paru plus facile pour les pays en développement de les accepter progressivement, en particulier linvestissement et la concurrence, plutôt que toutes ensemble. Le compromis trouvé à Doha avait consisté à inclure les quatre questions, les négociations ne devant débuter quune fois les modalités convenues par « consensus explicite ». 17. Au cours des sessions de négociation précédant Doha, il avait été officieusement proposé, devant une opposition aussi ferme, denvisager un résultat sous forme daccords plurilatéraux, mais les partisans de lengagement unique avaient catégoriquement rejeté cette idée, comme ils semblent le faire encore aujourdhui. Pourtant, à Cancún, les négociations étaient arrivées au stade où les Etats-Unis et lUE étaient disposés à retirer linvestissement et la concurrence du programme des négociations et à poursuivre sur la facilitation des échanges et la transparence des marchés publics ; cette marque de « souplesse » na pas été fructueuse, puisque beaucoup de pays en développement ont purement et simplement refusé daccepter les Questions de Singapour. 18. Pour sortir de limpasse, le Président du Conseil général avait proposé de dissocier les Questions de Singapour et de les aborder deux par deux, cest-à-dire de lancer des négociations sur la facilitation des échanges et les marchés publics. Cependant, comme la expliqué le Président du Conseil général au cours dune réunion informelle des chefs de délégation le 18 novembre 2003, bien que tous les membres aient souhaité remettre les négociations sur les rails, les Questions de Singapour restaient la principale pierre dachoppement. De toute évidence, celles-ci ne pouvaient plus être acceptées ensemble et la dissociation était le seul moyen de permettre une négociation. 19. Dautres possibilités ont également été évoquées officieusement : commencer les négociations sur les quatre questions, sur une base volontaire, cest-à-dire entre les membres de lOMC qui se sentent prêts et sont disposés à le faire ; laccord qui résulterait de telles négociations reposerait sur le principe de la nation la plus favorisée (NPF), ce qui ne compromettrait donc pas lengagement unique du Programme de travail de Doha. Cette solution rapprocherait les accords sur les Questions de Singapour de lAccord sur les technologies de linformation (ATI), qui na pas été signé par tous les membres mais sapplique selon le principe NPF. Une autre variante consisterait en des négociations entre tous les membres, suivies daccords signés sur une base volontaire. Chose qui pourrait plaire aux pays en développement, ces accords ne seraient pas soumis au Mémorandum daccord sur le règlement des différents, pour les pays en développement et les PMA. Tous ces « ajustements »feraient probablement partie des modalités à convenir par « consensus explicite ». 20. Des consultations sont en cours, non seulement sur les Questions de Singapour, mais aussi sur lagriculture. Une « première récolte » concernant linitiative du coton ne semble pas envisageable, et réalistement, il est peu probable que le coton soit traité totalement indépendamment des négociations sur lagriculture. Des consultations se poursuivent également sur les produits non agricoles. Concernant ces consultations, une première évaluation du résultat pourrait avoir lieu avant le 5 décembre, ce qui permettrait davoir une idée précise des progrès réalisés. 21. La date butoir du 15 décembre 2003 ne sera peut-être pas respectée, mais loptimisme laisse à penser que cela ne serait pas très grave, à condition que la volonté de faire preuve de souplesse se concrétise dès le début 2004. Certains négociateurs estiment, en effet, quil est préférable de commencer sur de bonnes bases lannée prochaine, plutôt que de risquer dautres sérieuses déconvenues si les négociations sont lancées sur de mauvaises bases. Pourtant, il serait peut-être constructif, dun point de vue stratégique, dadmettre que le respect de la date butoir convenue à Doha pour lachèvement du Programme de travail de Doha constitue un objectif très difficile à atteindre. La plupart des membres ont pris conscience de limportance des enjeux : il en va de la crédibilité du Programme de travail de Doha et de celle du système commercial multilatéral lui-même. Note 1 : Voir JOB(03)/150/Rev.1, 24 août 2003. (retour texte) Note 2 :Voir JOB(03)/157, 13 août 2003. (retour texte) Note 3 :Parmi les 23 parties contractantes initiales, neuf étaient et sont encore des pays en développement ; trois autres, à savoir le Liban, la Rhodésie du Sud (actuel Zimbabwe) et lUnion de lAfrique du Sud, appartiennent aujourdhui à la catégorie des pays en développement. (retour texte) Note 4 :Voir JOB(03)/150/Rev.2, 13 septembre 2003. (retour texte) Note 5 :George Yeo Yong-Bon, Ministre du commerce et de lindustrie de Singapour. (retour texte) Note 6 :Voir le Dossier thématique de lACICI « Lagriculture et le Programme de travail de Doha. Où en sommes-nous et comment en sommes-nous arrivés là ? », novembre 2003, qui présente une analyse plus complète du processus de négociation sur lagriculture. (retour texte) Note 7 :Pierre Pettigrew, Ministre du commerce international du Canada. (retour texte) Note 8 :Voir WT/MIN(03)/W/24, 14 septembre 2003. (retour texte)
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